AbrilRoman

Il y a quelques années, je me concentrais uniquement sur mon travail, je travaillais pratiquement toute la journée, mais ce n'est pas un reproche, j'adorais mon travail, mais cela me limitait à rencontrer des gens et à m'amuser. En parlant à des amis, certains d'entre eux ont avoué qu'ils utilisaient fréquemment des vibromasseurs, je n'avais jamais pensé à en utiliser un, quand il s'agissait de mon toucher, je le faisais uniquement avec mes mains, mais les expériences et la façon dont ils l'ont raconté l'ont fait semblent merveilleux. Un jour, j'étais excitée et j'ai commencé à chercher dans certains sex-shops un jouet que je voulais, des vibrateurs, des ventouses, des godes, j'ai vu des descriptions, jusqu'à ce que je trouve le vibrateur rose classique et sans hésitation je le commande. La livraison allait prendre. 48 heures. Comme je ne voulais pas payer pour une expédition rapide, ces deux jours j'ai souffert, j'avais très chaud, chaque rose du tissu, avec mes tétons, les faisait durcir, je suis allée aux toilettes et ma culotte était une un peu humide, j'avais très envie de l'avoir entre les mains, je n'en pouvais plus. Finalement il était arrivé, je l'ai sorti de sa boîte, quand je l'ai senti dans mes mains un frisson a parcouru mon corps, je suis allé dans ma chambre, je me suis tenu devant le miroir et j'ai lentement enlevé mes vêtements, tout en admirant. moi-même. Avec le vibromasseur j'ai fait le tour de mon corps, en descendant mon cou, mes seins, j'ai couru mes tétons avec, ils devenaient durs, j'allais commencer par les bases, j'ai donc sélectionné un programme où le tronc. tourne lentement et vibre doucement, mon corps vibrait doucement à chaque cm parcouru jusqu'à atteindre ma chatte, sentant la vibration vers mon cœur s'accélérer, je me frottais sur ma vulve, petit à petit elle entrait entre mes lèvres, je poussais de légers gémissements, Je voulais en faire l'expérience complètement. J'ai placé quelques coussins sur le sol face au miroir, j'ai ouvert mes jambes, d'un bout à l'autre, révélant complètement ma chatte mouillée, j'ai porté le vibromasseur à ma bouche, goûtant un peu mes fluides et éprouvant cette sensation de vibration dans ma bouche. J'ai rapproché le bout de ma chatte ouverte et je l'ai touché dessus, cherchant mon clitoris avec mes petites oreilles, ce qui me faisait frissonner. Ma respiration commençait à être rapide et irrégulière, petit à petit je l'enfonçais, sans. arrêtant de me masser, petit à petit ma poupée accélérait le rythme de plus en plus vite, mes gémissements s'entendaient dans toute la maison, heureusement mon colocataire n'était pas là, mais le son qui m'excitait de plus en plus, c'était quand il la mettait plus vite et plus vite Avec une de mes mains je massais mes seins, pendant que je me regardais devant le miroir, je les serrais, passais de l'un à l'autre, prenais mes tétons entre mes doigts et les étirais, les pinçais, si je pouvais. je les attrapais et les mettais dans ma bouche, j'aime me voir à chaque fois que je jouis, mais cette fois c'était un peu différent, je l'appréciais davantage jusqu'à ce que mon corps frémisse, mes jambes emprisonnées, laissant mon vibromasseur toujours allumé en moi, et un grand gémissement sortit de ma gorge, le plaisir Il me consuma à ce moment précis, quelques instants plus tard un autre gros gémissement, les oreilles de mon clitoris me rendaient fou. Les coussins sous moi étaient complètement humides là où tombait chaque goutte de mon humidité. Je me suis reposé pendant quelques minutes en regardant mon corps détendu dans le miroir, passant le bout de mes doigts sur certaines parties de mon corps, j'étais sûr que jusqu'à ce moment-là, c'était le cas. C'était l'orgasme que j'avais le plus apprécié. Toute la semaine que j'ai passée à expérimenter mes limites grâce au petit jouet,

Cette nuit-là

Ce jour-là, cette nuit-là, j'ai senti mes sens battre à l'unisson dans un océan de saveurs et d'assaisonnements. Andy, quel était son nom, est revenu dans la chambre et m'a porté dans ses bras jusqu'à la cuisine, m'asseyant sur une chaise à côté du réfrigérateur, tout était si érotique, si sublime, c'était ma meilleure nuit. Il a commencé par mettre de la crème pâtissière sur le bout de mon nez, tandis que de sa main droite il parcourait mes obliques et mes courbes. Il a lentement léché la crème anglaise, mes sens s'envolaient et mon vagin était sur le point d'exploser. Mes seins vibraient alors que je secouais le dulce de leche, bougeant mon torse au rythme d'une douce mélodie qui passait à la radio, tout était si romantique, Andy savait faire l'amour. Il a épluché une banane et n'en a mordu que le bout, puis m'a donné un tendre baiser et a laissé tomber le bout de la banane dans ma bouche. Quel moment délicieux, ma sueur était déjà trop forte, ma bouche exprima soudain un gémissement. Il avait mis un morceau de milanais dans sa bouche et m'observait. Ensuite, il s'est servi un chocolat et j'ai dit : Tu as faim ? Ou tu vas me faire l'amour ? Il a simplement arrêté de boire et m'a aspergé la bouteille de chocolat sur le visage, tout en léchant ce qui en restait sur mon visage. Quel plaisir mon Dieu, tout ce dont je rêvais c'était cet homme, quelqu'un qui me veut telle que je suis et qui me met du chocolat. Je dirais non, mais je n'ai pas la vergogne de nier que j'ai aimé ça, J'ai aimé l'avoir entre mes jambes pendant qu'il pénétrait dans mes lèvres, tandis qu'il ouvrait grand ma viande, tandis qu'il embrassait doucement et subtilement ma bouche et s'accrochait fermement à sa taille. Entre gémissement et gémissement, goutte à goutte, la peau rampe car cet orgasme est presque là, qui me remplira les yeux de plaisir. Quand je ressens des spasmes dans ma bouche Peut-être que je crie, peut-être que je me gratte Peut-être que ça me mord, peut-être que ça me regarde juste Ce qui est un fait, c'est quoi ! C'est un délice de remplir ma bouche de ton miel Et puis son corps m'appelle à l'aimer. On s'est embrassé, on a mordu, on s'est déshabillé, nous gémissons, nous haletons, pour le plaisir, par dépit, pour le plaisir, par p**** ou comme vous voulez l'appeler. Et oui, j'ai apprécié, il m'a mis comme il voulait, comme je voulais, comme je partais, comme ça me pénétrait davantage, Au fur et à mesure qu'il se sentait davantage, il m'a ouvert, Il m'a léché et m'a craché dessus, à genoux, ça ne me rendait pas malade de cracher dessus. putain et mets tout putain dans ma bouche, passe-le au milieu de ma seins, léché le gland son épaisseur et même le hein *****. Je l'ai monté, je suis monté et il m'a tenu les seins, J'ai ébouriffé mes cheveux et découvert mon visage, Il m'a touché, m'a stimulé avec ses doigts et me les a donnés à essayer, J'avais bon goût, je me sentais bien, C'était riche et agréable. Tu aimes ça? Je me demande. Vous n'avez aucune idée de combien ? .. J'ai répondu Tu ne lis pas mes gestes, mes gémissements, ceux-là les grimaces que je fais quand j'entre et que je sors ? LUI- : J'aime t'avoir comme ça, te sentir comme ça, te voir comme ça. Impuissant avec tes jambes grandes ouvertes avec ta vulve pleine de ma chatte. Avec ta bouche qui gémit, avec tes lèvres qui mordent, avec ton ventre qui vibre, J'aime t'avoir comme ça avec mes mains ouvertes et tenant tes pieds pour entrez pour mon bienheureux plaisir. J'adore attaquer comme ça pendant que je regarde comment tout entre en toi et tu l'apprécies comme Vous ouvrez la bouche en sentant mon gland se frayer un chemin dans les parois de vos lèvres. Tu aimes sentir ma chair gonflée enfouie jusqu'au fond, tu gémis et Tu sanglotes de plaisir et j'aime te voir m'apprécier ainsi. J'adore t'avoir comme ça et je ne me lasserai pas de dire que te baiser comme ça, c'est entrer au paradis. au paradis que sentir ta vulve tremper mon être est à me rendre fou de plaisir. J'aime avoir les jambes ouvertes ainsi, prêtes à endurer mes attaques. et que tu reviens encore et encore pour que tu me demandes ton lait et que je docilement Je l'ai jetée dehors. Je me suis demandé: Pourquoi l'ai-je fait ? parce que nous jurons d'être dans les bons et les mauvais moments, J'étais entre de bonnes mains, dans une bonne langue, et tu m'en dois déjà beaucoup. La vengeance est un plat qui se mange froid, mais je voulais le manger chaud.

stress au travail

Él sufre de estrés laboral y yo imagino las mil maneras de quitárselo 

Le soir je suis quelqu'un d'autre, j'aime penser à lui même si je n'ai pas de nouvelles de lui de la journée, je ne peux m'empêcher de l'imaginer arrivant à sa résidence avec sa fatigue au maximum, avec sa culotte de travail bleue qui me fait halluciner et que j'aimerais l'aider à enlever jusqu'aux hanches, voir son dos totalement en V, et constater la tension de ses muscles due au stress qu'il vit au quotidien, passer mes doigts le long de son cou et lui faire un petit massage pendant que j'embrasse toutes les parties disponibles de son dos.

Une de mes mains descend le long de ses côtes et le trouve en érection, parfait pour jouer avec lui, mais il ne peut plus se contenir et se retourne et m'att par les fesses très fort, me serre contre lui et me dit à l'oreille "tu es à moi" et m'allonge sur le lit avec lui, enlevant mon short (je ne porte pas de sous-vêtements d'habitude) aussi vite que possible et ouvrant mes jambes aussi largement qu'il le peut, et prenant ce qui lui appartenait depuis longtemps.

Au moment où sa langue touche mon clitoris, je ressens de l'électricité le long de ma colonne vertébrale, ce qui me fait gémir bruyamment et lui dire "oui, tu peux tout manger", ce qui m'amène à lui donner une de ces petites bouchées qui vous font bondir de plaisir.

Quand j'ai réagi, j'avais déjà 3 de ses doigts en moi, sa langue continuait à me goûter jusqu'à ce que je n'en puisse plus et que je l'att par les cheveux et lui dise son nom accompagné d'un "comme c'est bien que tu me le fasses !" accélérant mon cœur à mille, me donnant l'orgasme de ma vie.

Mais maintenant c'était mon tour, je l'avais désiré si longtemps en silence, que je me suis permis de profiter de chaque millimètre de lui, je ne me souciais pas vraiment de ce qu'il voulait à ce moment-là, je me souciais seulement de l'avoir pour moi, alors j'ai commencé à l'embrasser, ses lèvres riches avaient mon odeur et mon goût..... J'ai été un peu négligente et il a commencé à jouer avec mes seins, les mordant, les léchant, j'étais si bête de le regarder enfin après tant d'imagination que pendant un moment j'ai perdu de vue tout ce que je voulais lui faire.

Quand j'ai repris le contrôle de moi-même, j'ai continué à l'embrasser, en descendant lentement sur toute sa poitrine jusqu'à atteindre son abdomen, profitant de chaque partie, de l'arôme de produits chimiques et de sueur qui débordait de sa peau, jusqu'à ce que je le retrouve enfin... droit comme je l'ai fait. Je voulais, car Au-dessus de ce qui restait de la culotte, on pouvait sentir à quel point elle était dure et chaude, alors je l'ai relâchée et j'ai commencé à embrasser son environnement pendant que ma main commençait le travail. Je voulais d'abord jouer avec son gland mais il voulait tout en moi, alors il m'a poussé la tête, et j'ai commencé à le sucer sans arrêt, de temps en temps je levais les yeux pour voir son visage et comme j'appréciais ça... c'était ce que j'appréciais le plus. Cela m'excitait, jusqu'à ce qu'il ne puisse plus le contenir et finisse dans ma bouche, courant sur mes lèvres et mon corps, libérant tout son stress.