LiliethRoss

LILIETHROSS

ta vie est ta vie ne la laissez pas être battue jusqu'à la soumission humide reste vigilant il y a des sorties il y a une lumière quelque part ce n'est peut-être pas une grande lumière, mais vaincre l'obscurité Restez vigilants les dieux vous offriront des opportunités sachez les saisir saisis-les on ne peut pas vaincre la mort, mais on peut vaincre la mort dans la vie on peut vaincre la mort dans la vie, parfois et plus souvent tu apprendras à le faire plus il y aura de lumière ta vie est ta vie Sache-le tant que tu l'as vous êtes merveilleux les dieux attendent de se délecter de toi.

Je porte ton cœur avec moi (je le porte dans mon cœur) Je ne suis jamais sans lui. (Où que j'aille tu vas mon amour ; Et partout où je fais ce que je fais seul c'est à cause de toi, mon amour). Je n'ai pas peur du destin (car tu es mon destin, mon amour). Je ne veux pas de monde (car belle tu es mon monde, mon bien). C'est le secret le plus profond que personne ne connaît.... (C'est la racine de la racine et le bourgeon du bourgeon et le ciel du ciel d'un arbre appelé vie ; Qui pousse plus haut que l'âme ne peut l'espérer... ou que l'esprit ne peut le cacher) C'est l'émerveillement qui sépare les étoiles Je porte ton cœur (je le porte dans mon cœur)

Si tu m'aimes, aime-moi en entier, pas par des zones d'ombre ou de lumière... Si tu m'aimes, aime-moi en noir et blanche, et grise, et verte, et blonde.., et brune... Aime-moi le jour, aime-moi la nuit... Et l'aube à la fenêtre ouverte !.... Si tu m'aimes, ne m'abaisse pas : Aime-moi tout entière... Ou ne m'aime pas du tout ! Accroche-toi à tes rêves car si les rêves meurent la vie est comme un oiseau aux ailes brisées incapable de voler. Accroche-toi à tes rêves car si les rêves disparaissent la vie est comme un champ stérile couvert de givre. Je t'aime par ton sourcil, par tes cheveux, je te débats dans des couloirs très blancs où jouent les sources de lumière, je dispute avec chaque nom, j'arrache délicatement ta cicatrice, j'y mets des cendres de foudre et des rubans qui dormaient sous la pluie tes cheveux. . Je ne veux pas que tu aies une forme, que tu sois précisément ce qui se passe derrière ta main, car l'eau, considère l'eau, et les lions quand ils se dissolvent dans le sucre de la fable, et les gestes, cette architecture du néant, allumant leurs lampes au milieu du match. Chaque matin c'est le tableau où je t'invente et te dessine, prêt à t'effacer, ce n'est pas qui tu es, ni avec ces cheveux raides, ce sourire. Je cherche ta somme, le bord du verre où le vin est aussi la lune et le miroir, je cherche cette ligne qui fait trembler un homme dans une galerie de musée. En plus, je t'aime, et depuis longtemps et froidement.

Le jour où tu m'aimeras aura plus de lumière que juin ; La nuit où tu m'aimes sera une pleine lune, avec des notes de Beethoven vibrant dans chaque rayon ses choses ineffables, et il y aura plus de roses ensemble que pendant tout le mois de mai. Les fontaines cristallines dévaleront les pentes en sautant cristallines le jour où tu m'aimeras. Le jour où tu m'aimeras, les buissons cachés résonneront d'arpèges jamais entendus auparavant. Extase de tes yeux, toutes les sources qu'il y a eu et qu'il y aura dans le monde seront quand tu m'aimeras. Se tenant la main telles des petites sœurs blondes, coiffées de fraises franches, les marguerites traverseront montagnes et prairies, devant tes pas, le jour où tu m'aimeras... Et si tu enlèves une de ses feuilles, son innocent dernier pétale blanc le dira. vous : Passionnément ! A l'aube du jour où tu m'aimes, tous les trèfles auront quatre feuilles menaçantes, et dans l'étang, nid de germes inconnus, fleuriront les corolles mystiques des lotus. Le jour où tu m'aimeras, il y aura chaque nuage magnifique aile ; chaque arbol, miraje des « Mille et une nuits » ; Chaque brise est une chanson, chaque arbre une lyre, chaque montagne un autel. Le jour où tu m'aimeras, pour nous deux la béatitude de Dieu tiendra dans un seul baiser.

Je chante ce que tu as aimé, ma vie, au cas où tu t'approcherais et écouterais, ma vie, au cas où tu te souviendrais du monde que tu as vécu, au coucher du soleil je chante, mon ombre. Je ne veux pas me taire, ma vie. Comment me trouverais-tu sans mon cri loyal ? Quel signe, qui me dit, ma vie ? Je suis le même qui était le tien, ma vie. Ni lent, ni dérangé, ni perdu. Viens à la tombée de la nuit, ma vie ; Venez vous souvenir d'une chanson, de ma vie, si vous reconnaissez la chanson comme apprise et si vous vous souvenez encore de mon nom. Je t'attends sans délai ni heure. Ne craignez pas la nuit, le brouillard ou les averses. Venez avec ou sans sentier. Appelle-moi là où tu es, mon âme, et marche droit vers moi, compagnon. Ma tactique est de te regarder apprendre comment tu vas t'aimer comme tu es ma tactique c'est te parler et t'écouter construire avec des mots un pont indestructible ma tactique c'est rester dans ta mémoire je ne sais pas comment ni sous quel prétexte mais rester en toi Ma tactique est d'être franc et de savoir que vous êtes franc et que nous ne nous vendons pas. exercices pour qu'il n'y ait pas de rideau ni d'abîme entre les deux, ma stratégie est plutôt plus profonde et plus simple, ma stratégie est qu'un jour je ne sais pas comment ni sous quel prétexte tu auras enfin besoin de moi

Je t'aime quand tu te tais parce que tu es comme absent, et tu m'entends de loin, et ma voix ne te touche pas. C'est comme si vos yeux s'étaient envolés et comme si un baiser vous fermait la bouche. Comme toutes choses sont pleines de mon âme, tu sors des choses, plein de mon âme. Rêve papillon, tu ressembles à mon âme, et tu ressembles au mot mélancolie. Je t'aime quand tu es silencieux et distant. Et tu es comme un papillon qui se plaint, qui berce. Et tu m'entends de loin, et ma voix ne t'atteint pas : Laisse-moi me taire avec ton silence. Laisse-moi aussi te parler avec ton silence clair comme une lampe, simple comme un anneau. Vous êtes comme la nuit, calme et constellée. Votre silence vient des étoiles, si loin et si simple. Je t'aime quand tu te tais parce que tu es comme absent. Distant et douloureux comme si tu étais mort. Un mot donc, un sourire suffit. Et je suis heureux, heureux que ce ne soit pas vrai Tes mains sont ma caresse mes accords quotidiens Je t'aime parce que tes mains 

travaillent pour la justice Si je t'aime c'est parce que tu l'es.

mon amour, mon complice et tout et dans la rue côte à côte nous sommes bien plus que deux tes yeux sont mon sort contre le mauvais jour je t'aime pour ton regard qui regarde et sème l'avenir ta bouche qui est la tienne et la mienne Ta bouche n'a pas tort je t'aime parce que ta bouche sait crier à la rébellion Si je t'aime c'est parce que tu es mon amour, mon complice et tout et dans la rue côte à côte nous sommes bien plus que deux et à cause de ton visage sincère et de ton pas errant et de tes cris pour le monde parce que tu es un peuple Je t'aime et parce que l'amour n'est pas une auréole ni une morale franche et parce que nous sommes un couple qui sait qu'ils ne sont pas seuls, je t'aime dans mon paradis, c'est-à-dire que dans mon pays les gens vivent heureux même s'ils n'ont pas permission. Si je t'aime c'est parce que tu es mon amour, mon complice et tout et dans la rue côte à côte nous sommes bien plus que deux.

Ne laissez pas la journée se terminer sans avoir grandi un peu, sans avoir été heureux, sans avoir augmenté vos rêves. Ne vous laissez pas envahir par le découragement. Ne laissez personne vous priver de votre droit de vous exprimer, qui est presque un devoir. N'abandonnez pas le désir de faire de votre vie quelque chose d'extraordinaire. N'arrêtez pas de croire que les mots et les poèmes oui, ils peuvent changer le monde. Quoi qu'il arrive, notre essence est intact. Nous sommes des êtres pleins de passion. La vie est désert et oasis.Il arrive parfois que l'on tombe amoureux des arbres à cause de l'ombre produite par la force de leurs branches ou de la douceur de leurs fruits. Il arrive aussi, parfois, que l'arbre qu'on aime devient un homme et qu'on aime ses idées, ses lèvres, son cœur, ses bras ou son sexe (car les arbres ont du sexe). Et il arrive plus tard, parfois, que l'arbre qu'on aime soit si proche que cela en soit surprenant. Il cesse d'être un arbre et ressemble à un soleil qui éblouit les yeux amoureux. Il arrive alors parfois qu'on ne sache pas s'il faut fermer les yeux et se cacher ou contempler l'homme-arbre-soleil jusqu'à devenir aveugle.Mon cœur se réjouit quand je te contemple : j'oublie que nous sommes des passagers ici sur terre, j'oublie que nous ne sommes venus que pour rêver. Je ne veux pas que ton regard se fane. Je ne veux pas que ton visage change. Je ne veux pas que ton sourire s'efface. Verdissez année après année Livrez vos fleurs année après année Je t'attendrai année après année petite fleur.

Madame, L'Amour est violent, et lorsqu'il nous transfigure, la folie enflamme nos pensées. Ne demandez pas la paix dans mes bras qui ont emprisonné les vôtres : mes câlins sont comme la guerre et mes baisers sont comme le feu ; et ce serait une vaine tentative de m'obscurcir l'esprit si la folie éclairait mes pensées. Mon esprit est clair de flammes d'amour, madame, comme la tente du jour ou le palais de l'aube. Et le parfum de ton onguent te poursuit, toi ma fortune, et éclaire mes pensées. la folie. Ma joie que ton riche palais en nid d'abeille conceptualise, comme dans la chanson sacrée : Mel et lac sub lingua tua. Le délice de ton haleine dans un verre si fin est exaspérant, et la folie enflamme mon esprit. Parce que je t'ai et non parce que je pense à toi parce que la nuit est les yeux ouverts parce que la nuit passe et je dis amour parce que tu es venu récupérer ton image et tu es meilleure que toutes tes images parce que tu es jolie du pied au l'âme parce que tu es bonne du fond de l'âme envers moi parce que tu caches doux dans l'orgueil petite et douce coquille de coeur parce que tu es à moi parce que tu n'es pas à moi parce que je te regarde et je meurs et pire que je meurs si je ne le fais pas regarde toi mon amour si je ne te regarde pas parce que tu existes toujours partout mais tu existes mieux là où tu veux parce que ta bouche est en sang et tu as froid je dois t'aimer mon amour je dois t'aimer même si cette blessure fait mal comme deux même si je te cherche et je ne te trouve pas et même si la nuit passe et que je t'ai et je ne te trouve pas.

Un corps, un corps seul, un corps, un corps comme le jour répandu et la nuit dévorée ; la lumière des cheveux qui n'apaise jamais l'ombre de mon contact ; une gorge, un ventre qui se lève comme la mer qui s'illumine lorsqu'elle touche le front de l'aube ; quelques chevilles, ponts d'été ; des cuisses nocturnes qui s'enfoncent dans la musique verte de l'après-midi ; un coffre qui se lève et emporte l'écume ; un cou, juste un cou, juste quelques mains, quelques mots lents qui descendent comme du sable tombé dans un autre sable…. Cette chose qui m'échappe, l'eau et les ténèbres délices, la mer née ou mourante ; Ces lèvres et ces dents, ces yeux affamés me dépouillent et leur grâce furieuse m'élève vers les cieux immobiles. où vibre l’instant ; le sommet des baisers, la plénitude du monde et de ses formes. Si l'émeraude devenait terne, si l'or perdait sa couleur, Alors notre amour prendrait fin. Si le soleil ne se réchauffait pas, si la lune n'existait pas, cela n'aurait aucun sens de vivre sur cette terre, tout comme cela n'aurait aucun sens de vivre sans ma vie, la femme de mes rêves, celle qui me donne de la joie... Si le monde ne tournait pas ou si le temps n'existait pas, alors, il ne mourrait jamais et notre amour ne mourrait pas non plus. mais le temps n'est pas nécessaire, notre amour est éternel, nous n'avons pas besoin du soleil, de la lune ou des étoiles pour continuer à nous aimer... Si la vie était différente et que la mort venait alors, je t'aimerais aujourd'hui, demain... pour toujours... encore.

Approche-toi plus profondément de ma poitrine, enfonce-toi dans ma chemise, Perce ma peau, mes parures, et détruis-moi intérieurement avec tes lèvres et tes flots. Transféré dans mes veines, dans mon sang furieux, et augmente les fleuves artériels et l'écume qui traverse mon front quand je pense aux hôpitaux. Devient ma substance, ma salive, mon cri, et laissez-vous emporter par ces eaux et par le contrepoids des étincelles qui sautent de mes forges. Rejoins encore plus mon sort, mon cheval tremblant, et tiens mes pieds dans les étriers, les tiens chaussés de colombes et de couteaux vivants. Qu'une seule personne, un seul geste, soit nos deux corps liés, et que si je t'embrasse ou si tu m'embrasses, nous ressentons tous les deux le goût du coquelicot et de la fraise. Compagnon de telle manière uni, que même la mort ne peut nous séparer, et que, dos à toi, dans la tombe, tu te souviennes de ma présence complète et moi de ta figure immuable. Je voulais seulement être en vie pour t'aimer sur la terre rapide. Ici, à vos côtés, suivant le vol de cette sphère qui tourne derrière un soleil trop lointain. Quel que soit le temps que les dieux ou le hasard nous ont donné, quoi qu'il reste de la lumière dans notre lampe indécise, mon désir est ici, pas dans un autre monde, à côté de tes mains, de tes yeux et de tes rires, à côté des arbres et du vent. qui accompagnent votre passage à travers le monde. Celui qui précipite les étoiles et nous fait naître ou non, celui qui rapproche nos corps, même si cet éclair ne dure rien et que la terre rapide efface notre sommeil.

Je t'aime doucement, parmi les ombres des fausses illusions. Je t'aime assez pour te lire tous les soirs, comme mon livre préféré, je veux te lire, ligne après ligne, lettre par lettre, espace par espace. Je t'aime pour pouvoir te tenir la main sous le ciel et te montrer combien je t'aime caché parmi les étoiles. Je t'aime sur les feuilles d'automne, parlant de rien mais en même temps de tout et, dans un accès de folie, buvant tes larmes tandis que je m'évanouis sur tes lèvres. Je veux que tu te cherches parmi les phrases non dites, parmi les pensées enfouies, parmi les chemins compliqués. Je veux te trouver et ne plus te quitter. Je t'aime assez pour t'emmener dans mes endroits préférés et te dire que c'est là que je me sens je te cherche dans le brouillard des regards qui ne sont pas les tiens, mais je te cherche quand même. Je t'aime pour que nous puissions devenir fous de rire, nous enivrer de rien et nous promener tranquillement dans les rues, oui, en nous tenant la main, ou plutôt en nous tenant la main. Je t'aime assez pour te guérir, et guérir moi, et guérissons ensemble, pour remplacer les blessures par des sourires et les larmes par des regards, où nous pouvons dire plus que par des mots. Je t'aime pour les nuits où tu manques, je t'aime assez pour écouter tes rires toute la nuit et dormir sur ta poitrine, sans ombres ni fantômes, je t'aime assez pour ne jamais lâcher prise. Je t'aime comme tu aimes certains amours, à l'ancienne, avec mon âme et sans regarder en arrière.

Découvrir le monde est l'une des sensations les plus agréables, c'est pourquoi je l'aime, pour savoir ce qui m'entoure, j'aime chanter, danser, profiter de chaque petit moment de la vie qui se présente à moi pour être heureuse et rendre heureux ceux qui m'entourent. De doux baisers, des touches de plumes, ils m'ont accompagné dans mes rêves. Des sourires arrogants, des sourires déséquilibrés sont mes premières pensées au réveil. J'espère que cela vous fait du bien de voir un nouveau jour comme vous me le faites ressentir. Je me réveille avec la musique des oiseaux devant ma fenêtre C'est une musique qui parle de tout ce qui est juste dans le monde C'est une musique qui fait écho à la chanson dans mon cœur Une musique qui est dirigée par des pensées à ton sujet touche mon cœur comme une corde, la remplissant de musique. J'ai regardé la lune avant de m'endormir, je sais que toi aussi je me suis réveillé sous les rayons brillants du soleil, je sais que toi aussi, je suis content que nous ayons un autre jour, je sais que toi aussi.

Le matin vient avec de beaux rayons, des rayons d'espoir, des rayons d'amour, il vient aussi avec des éclaboussures de rosée sur les feuilles, rosée de nouveaux départs, rosée de paix. Ton amour fait danser mon cœur au rythme du staccato qu'est le battement de ton cœur, il me fait marcher avec un balancement et un sourire sur mon visage me fait penser à toi toute la journée. Ils disent qu'aimer et être aimé est ce qu'il y a de mieux. Je dis qu'ils ne savent rien tant qu'ils n'ont pas été enveloppés dans votre amour pour s'incliner dans un doux abandon pour que vos désirs soient comblés au maximum, c'est le meilleur que je connaisse parce que vous me faites m'en réveiller. tous les jours . Certains disent que l'amour est l'étoffe des contes de fées de princes balayant les princesses des marraines fées agitant leurs baguettes et créant de la magie. Je remercie chaque jour ma fée marraine de connaître mes besoins et de t'apporter mon chemin. L'amour est un langage entre deux cœurs il a rarement besoin de mots il se nourrit d'actions c'est une symphonie sans son comme la relation entre la nuit et le matin.

Le soleil peut être obscurci pour toujours ; La mer peut s'assécher en un instant ; L'axe de la terre peut se briser Comme un verre faible. Tout arrivera ! Que la mort me couvre de sa crêpe funéraire ; Mais la flamme de ton amour ne pourra jamais s’éteindre en moi. Deux corps qui se font face sont parfois deux vagues et la nuit est l'océan. Deux corps face à face sont parfois deux pierres et le désert nocturne. Deux corps face à face sont parfois des racines liées dans la nuit. Deux corps face à face sont parfois des couteaux et la nuit est éclair. Deux corps se faisant face sont deux étoiles qui tombent dans un ciel vide. Si tu m'as appelé, oui; si tu m'appelais ! Je quitterais tout, je jetterais tout : les prix, les catalogues, le bleu de l'océan sur les cartes, les jours et leurs nuits, de vieux télégrammes et un amour.

Je t'aime comme un chat face vers le haut, ventre vers le haut Je t'aime, miaulant à travers ton regard, à travers cet amour-cage violent, plein de griffes comme un soir de lune et deux chats amoureux discutant de leur amour sur les toits, s'aimant à voix haute et des pleurs, des malédictions, des larmes et des sourires (de ceux qui font trembler le corps de joie). Je t'aime comme un chat ventre en l'air et je me défends de m'enfuir, de quitter ce combat de ruelles et de nuits sans se parler, cet amour qui me donne le vertige, qui me remplit de pollen, de fertilité et qui me tourne le dos pendant la journée, me chatouillant. Je ne pars pas, je ne veux pas partir, te quitter, je te cherche accroupi en ronronnant, je te cherche sortant de derrière le canapé, sautant sur ton lit, passant ta queue sur tes yeux , je te cherche allongé sur le tapis, mettant mes lunettes de lecture des livres sur l'éducation à la maison et ne pas être fou et savoir gérer la maison, mettre la nourriture, nettoyer les chambres

Dans chaque partie de ma vie, il y a quelque chose de toi. et cela n'a rien d'extraordinaire Vous le savez aussi objectivement que moi. Cependant, il y a quelque chose que je voudrais clarifier pour vous, quand je parle de tous les complots, je ne parle pas seulement de ça maintenant, cette attente de toi et alléluia de te trouver, et te perdre, putain, et te retrouver, et avec un peu de chance, rien d'autre. Je ne veux pas dire que tout d'un coup tu dis, je vais pleurer Et moi, avec une discrète boule dans la gorge, je pleure. Et qu'une belle averse invisible nous protège et que c'est peut-être pour ça que le soleil se montre tout de suite. Je ne parle pas non plus que de cela jour après jour, le stock de nos petites et décisives complicités augmente, ou que je peux ou que je crois que je peux transformer mes revers en victoires, ou que vous me fassiez le tendre cadeau de votre plus récent désespoir.

J'aime être gentille et très coquette dans ma chambre, j'aime te provoquer et t'exciter, j'aime que tu me vois et que tu commences à bander pour moi, j'espère que nous nous amuserons beaucoup ensemble. Je suis heureux de jouer avec mes grosses fesses, de bouger mes grosses hanches et de toucher mes seins. J'ai un caractère joyeux, sensuel et coquette et parfois dominant, selon la façon dont vous me traitez. Je serai un exemple de votre comportement envers vous. Je peux être cruel si vous me manquez de respect. J'aime un homme avec de bonnes choses. bonnes manières et éducation.

Je t'aime. Je te l'ai dit avec le vent, jouer comme un petit animal dans le sable ou en colère comme un organe impétueux ; Je te l'ai dit avec le soleil, qui dore les corps nus des jeunes et sourit à toutes les choses innocentes ; Je te l'ai dit avec les nuages, des fronts mélancoliques qui soutiennent le ciel, tristesse passagère; Je vous l'ai dit avec les plantes, de légères créatures transparentes qui se couvrent d’une rougeur soudaine ; Je vous ai parlé de l'eau, de la vie lumineuse qui voile une profondeur d'ombre ; Je vous l'ai dit avec crainte, je vous l'ai dit avec joie, avec ennui, avec des paroles terribles. Mais cela ne me suffit pas : au-delà de la vie, je veux vous dire avec la mort ; au-delà de l'amour, je veux te dire avec l'oubli.